<!--[if gte mso 9]>
Normal
0
21
false
false
false
FR-CA
X-NONE
X-NONE
MicrosoftInternetExplorer4
Bonjour à tous, merci a ceux qui ont pris le temps d'écouté l'entrevu à CKAC. Bref, ce n'est qu'un début d'intervention pour la défense de nos droits sur les accès publics. Malgré quelques moments de nervosité, j'ai été très heureux de parler aux noms de l'ensemble des pêcheurs sportifs sur le dossier des accès publics des décentes de bateaux, de leurs accès
et des tarifs exigés par les municipalités.
Le dossier Tremblant veut être
une référence auquel plusieurs municipalités du Québec pourront utiliser comme point de départ.
Ceci est une bonne nouvelle en elle-même, car nous aussi devrions ce référé pour comprendre comment les municipalités si prennent pour faire adopté leurs règlementations. Ce qui n’est pas facile dans le dossier et ce qui est important que nous puissions comprendre est le transfert que les gouvernements leurs ont fait.
Le ministre délégué aux ressources naturelles et de la faune M. Serges Simard Serge lors de l’entrevu e de M. Patrick Campeau dans le Journal de Montréal parut le 1er décembre dernier se dit bien au courant de ces contraintes et en est préoccupé, car les restrictions des rampes à bateaux pour la mise à l’eau nuisent à la pratique d’activités récré touristique,dont la pêche sportive. Il mentionne que nous ( le gouvernement du Québec ) amorcerons prochainement , en collaboration avec divers partenaires des échanges structurés dans le but de déterminer les solutions potentielles pour permettre une plus grande facilité d’accès aux plans d’eau à tous les Québécois.
Est-ce encore des vœux pieux , qui parleront au nom des pêcheurs sportifs ?
Qui sera les partenaires les échanges structurés dont il mentionne aura quel impact sur le terrain ou plutôt sur l’accès des rampes à bateaux qui de plus en plus sont dans les mains des municipalités.
Pour ma part je crois à la démocratie et il ne faut pas oublier que les décentes à bateaux sont également utiles à d’autres utilisateurs « Plaisancier, canoteurs, kayakiste sont tout aussi concerné comme toutes personnes soutenant et respectant notre environnement et les lois s’y rattachant.
Dans le but d’être équitable envers tous les citoyens citoyens du Québec , je ne crois que notre réponse à M. Srge Simard ministre des Ressources naturelles et de la Faune devrais être la demande d’une « Commission parlementaire» celle-ci pourrait entendre tous les organismes utilisateurs des accès des plans d’eaux du Québec .
Qu’est qu’une commission parlementaire ( référence du site de l’assemblé national )
( http://www.assnat.qc.ca/f...ir-sans-memoire.html )
intervenir en commission parlementaire sans dépôt de mémoire
À l’occasion d’une consultation générale organisée par une commission parlementaire de l’Assemblée nationale, les citoyens peuvent demander à être brièvement entendus par les députés membres de la commission pour exprimer leur point de vue sur le sujet de la consultation sans avoir à présenter un mémoire. Ils doivent pour ce faire transmettre une demande d’intervention.
Chaque demande est transmise aux députés concernés pour qu’ils puissent en prendre connaissance. Les députés choisissent ensuite parmi toutes les demandes reçues les personnes qu’ils entendront au cours des auditions publiques de la consultation.
Le secrétaire de la commission qui tient la consultation communique ensuite avec chaque personne sélectionnée pour l’informer des détails nécessaires à la préparation de son intervention. Durant les auditions publiques d’une consultation, une période de 45 minutes au plus est prévue pour l’ensemble des interventions retenues.
Seuls les citoyens peuvent transmettre une demande d’intervention sans présenter de mémoire. Pour participer à la consultation et à ses auditions publiques, les organismes doivent produire un mémoire.
Produire un mémoire
Un mémoire est un document dans lequel une personne ou un organisme exprime son point de vue sur un sujet faisant l’objet d’une consultation publique par une commission parlementaire de l’Assemblée nationale.
Tous les mémoires et autres documents transmis au secrétaire d’une commission dans le cadre d’une consultation sont remis aux députés membres de la commission. L’auteur d’un mémoire peut aussi être invité à participer aux auditions publiques de la consultation.
Conseils pratiques pour la rédaction d’un mémoire
Chaque mémoire doit être rédigé en format lettre (21,5 cm x 28 cm ou 8,5 po x 11 po).
L’auteur du mémoire choisit lui-même le style d’écriture, le nombre de pages et la mise en pages du mémoire. On suggère cependant de séparer le mémoire en 3 parties :
- présentation de l’auteur
- résumé
- exposé général.
Présentation de l'auteur
Une courte présentation de l'organisme ou de la personne qui présente le mémoire permet à la commission :
- de mieux connaître l'intervenant qui s'adresse à elle
- dans le cas d’un organisme, d’en apprécier la représentativité (par son nombre de membres ou d’employés, par exemple)
- d'établir la pertinence de l’intervention par rapport à la question à l’étude.
Résumé
S’il compte plus de 10 pages, le mémoire doit comprendre un résumé d’une page maximum.
Avec ou sans mémoire , nos voix seront entendues
Je propose que l’Association des pêcheurs sportifs du Québec démarre une pétition en ce sens et que la pétition soit déposée au nom des pêcheurs sportifs .
J’invite par le fait même tout personne ou organisme utilisateur à ce joindre à la pétition et avoir droit de parole à cette commission parlementaire sur les accès et contrôles des plan d’eaux du Québec .